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En avril 2015, Saint-Étienne accueillait la 9ème Biennale Internationale design Saint-Étienne. L’ensemble des expositions questionnait « Les sens du beau ». Les critiques de certaines des expositions ont permis d’étudier la question de l’image dans la discipline élargie de l’architecture. Ce troisième numéro complète et termine la série des trois premiers numéros présentés lors du DNSEP de Fanny Myon soutenu à l’ESADSE. Tiraillé entre actualité et nostalgie, il sonnait également le glas de nos cursus universitaires respectifs. Comme un hommage, nous voulions qu’il s’imprègne du territoire stéphanois.

© photos
Chantal Casanova

fig. #2

titre hypotypose

2015

190 x 265 mm

44 pages

ISSN
2493-3597

épuisé

édito

Avril dernier, la Biennale internationale du design s’est emparée du territoire stéphanois. L'événement s’établit sporadiquement dans les structures culturelles de la ville, notamment la Manufacture d’Armes de Saint-Étienne, l’École Supérieure d’Art et Design et l’École Nationale Supérieure d’Architecture, où nous étudions respectivement le graphisme et l’architecture. C’est ici, dans ces mêmes lieux, que la revue fig. a vu le jour. C’est dans ces lieux que s’est effectué le trajet de l’idée au papier, du concept à la forme, du rêve à la réalité. La Biennale était donc un prétexte pour se pencher sur ce qui entoure immédiatement l’univers de fig. Comme un revers, c’est l’endroit qui a vu naître la revue qui devient son sujet d’étude. L’ensemble des expositions questionnaient « Les sens du beau », thème de l’édition 2015. Investi dans ce tourbillon d’énergie, ce numéro s’approprie les problématiques de la biennale à travers l’hypotypose. Si le beau a un sens, ou fait sens, celui-ci vit à travers sa réalité. Les potentielles significations du beau impliquent sa représentation dans le réel à travers l’image. En architecture, l’image est un vecteur de sa représentation, donc de tout ce qui participe à son mode de production et de consommation. Nous parlons de représentations spatiales, graphiques et filmiques, inhérentes à la conception, le dessin et l’édification d’une œuvre. Puis, deviennent outils pour la promouvoir, la faire connaître, la discuter et aussi s’en souvenir. Le pouvoir des mots à imager, par la représentation de « scènes » au sein d’un texte permet à ce numéro d’étudier la question de l’image dans la discipline élargie de l’architecture, d’une part, grâce à la Biennale du Design, d’autre part grâce à d’autres horizons venus diversifier le champ d’études. Tiraillé entre actualité et nostalgie, ce numéro sonne également le glas de nos cursus universitaires respectifs. Comme un hommage, nous voulions qu’il s’imprègne du territoire stéphanois. Le temps est venu pour fig. de s’en aller braver de nouvelles villes, de nouvelles routes et de nouveaux paysages.

revue fig.

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